Par une délibération, les consuls de la ville de Pampelonne, par l’intermédiaire du substitut du procureur général du roi de Pampelonne, confient la réparation de l’horloge de la ville à un maître armurier, Mathieu Négrier, originaire de la ville de Lédergues en Aveyron. On peut s’étonner que la besogne soit confiée à un armurier qui habituellement conçoit, fabrique, modifie, répare ou vend des armes défensives et offensives, des armures et non à un horloger...
L’écriture est régulière et relativement petite, assez proche de notre écriture contemporaine.
Quelques abréviations sont employées mais elles font partie des abréviations rencontrées habituellement dans les textes de cette époque.
A la fin de la ligne 25, on rencontre un signe de renvoi. On le retrouve à la fin du texte, soit à la ligne 27. La ligne entière comporte le renvoi. Puis on retourne à la ligne 26 pour continuer la lecture.
On note la présence d’abréviations souvent signalées par un trait montant (ligne 12, n[ot]re, treitzie[me].